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AFRIKA

Depuis 1963, la France a assassiné 22 présidents africains

NIAMEY, République du NIGER, Westpapuanews.Org  — Le colonialisme français sur le continent africain n’a pas pris fin lorsque les pays coloniaux français du continent ont obtenu leur indépendance grâce à un processus de décolonisation.

La France a continué à maintenir son pouvoir en formant un nouvel Imperium nommé Francophonie (Organisation internationale de la Francophonie) ou communauté des pays francophones en 1970. La Francophonie se composait de 20 pays et avait son siège à Paris. L’objectif de la Francophonie est de continuer à sécuriser l’exploitation dans les pays riches en ressources naturelles qui étaient autrefois leurs colonies.

La Francophonie a un programme d’exploitation d’une ancienne colonie similaire à l’Empire britannique nommée Commonwealth (The Commonwealth of Nations) et l’Empire portugais nommé CPLP (Comunidade dos Países de Língua Portuguesa).

L’un des pays africains exploités sans pitié par la France est la République du Niger, pays d’Afrique de l’Ouest devenu indépendant de la France le 3 août 1960.

Le Niger est un pays riche en ressources naturelles, notamment en uranium. Mais l’uranium du Niger a été pillé par les Français pendant de nombreuses années. Actuellement, presque toutes les villes de France possèdent des centrales nucléaires qui fournissent 90 % de l’énergie du pays de l’empereur Emmanuel Macron, même si la France ne possède aucune mine d’uranium dans son pays. Il est actuellement confirmé qu’environ 80 % de l’uranium appartenant à la France a été volé au Niger pour la coopération malheureuse convenue avec les présidents fantoches soutenus par la France qui gouvernent au Niger au nom de la démocratie.

Fait horrible, alors que 100% des Français peuvent profiter de l’électricité et vivre dans la prospérité, c’est l’inverse qui se produit au Niger qui est propriétaire de la mine d’Uranium. Environ 80 % de la population nigérienne n’a pas accès à l’électricité. L’approvisionnement en électricité du Niger est en fait assuré par le Nigeria voisin, aujourd’hui coupé par les autorités nigérianes sur ordre de la France.

Dans le même temps, le Niger souffre d’une mauvaise éducation et de la pauvreté de sa population, du manque d’infrastructures, de la médiocrité des soins de santé et de divers problèmes environnementaux. Selon les données de l’ONU, le Niger est un pays en développement et est un pays classé 188e sur l’indice de développement humain.

Les crimes de l’Empire français se sont répandus dans de nombreux pays africains, non seulement dans leurs anciennes colonies, mais dans presque toutes les anciennes colonies africaines de ses alliés : Angleterre, Portugal, Belgique, Espagne et Pays-Bas.

Tué 22 présidents

Pour les dirigeants africains qui ont courageusement défié les tendances impérialistes implacables des anciennes puissances coloniales, cela a généralement rencontré la mort. Et la France n’a jamais hésité à destituer tout président qui menacerait ses plans impérialistes. La France a constamment conspiré et coopéré avec d’autres puissances occidentales pour assassiner des présidents africains qu’ils perçoivent comme des menaces pour leurs intérêts.

Ces trois services de renseignement français, le Service de documentation extérieure et anti-espionnage (SDECE), la DGSE et la DST ont été très actifs dans la réalisation de sales besognes qui comprenaient des coups d’État et des assassinats. Les crimes de la France en Afrique consistent en des campagnes de désinformation ou de canulars, de « contrôle des gouverneurs noirs » (présidents fantoches) et de propagande militaire.

La France a toujours veillé à ce que l’ancienne colonie reste sous son contrôle strict. Ceci explique l’existence du Franc CFA, la monnaie coloniale qui a empêché l’ancienne colonie d’accéder à la pleine indépendance économique.

Des présidents comme Thomas Sankara, qui étaient progressistes et refusaient de se soumettre à l’influence française, ont été mis à l’écart, la France jouant un rôle majeur dans les horribles assassinats.

Ci-dessous une liste des présidents africains assassinés par la France depuis 1963 :

(1) 1963 : Sylvanus Olympio, président de la République togolaise

(2) 1966 : John-Aguiyi Ironsi, Président de la République du Nigéria

(3) 1969 : Abdirachid-Ali Shermake, président de la République somalienne

(4) 1972 : Abeid-Amane Karume, Président de la République de Zanzibar

(5) 1975 : Richard Ratsilandrava, Président de la République de Madagascar

(6) Année 1975 : François-Ngarta Tombalbaye, président de la République du Tchad

(7) 1976 : Murtala-Ramat Mohammed, Président de la République du Nigeria

(8) 1977 : Marien Ngouabi, Présidente de la République du Congo-Brazzaville

(9) 1977 : Teferi Bante, président de la République d’Ethiopie

(10) 1981 : Muhammad Anwar el-Sadate, président de la République d’Égypte

(11) 1981 : William-Richard Tolbert, président de la République du Libéria

(12) 1987 : Thomas Sankara, Président de la République du Burkina Faso

(13) 1989 : Ahmed Abdallah, président de la République des Comores

(14) 1989 : Samuel-Kayon Doe, président de la République du Libéria

(15) 1992 : Mohammed Boudiaf, président de la République algérienne

(16) 1993 : Melchior Ndadayè, Président de la République du Burundi

(17) 1994 : Cyprien Ntaryamira, Président de la République du Burundi

(18) 1994 : Juvénal Habyarimana, Président de la République du Rwanda

(19) 1999 : Ibrahim Barrè-Mainassara, président de la République du Niger

(20) 2001 : Laurent-Désirèd Kabila, président de la République démocratique du Congo

(21) 2009 : Joào Berbardo Vieira, Président de la République de Guinée Bissau

(22) 2011 : Mouammar Kadhafi, président de la République de Libye ■

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